Portrait 01 - Chez Marine Neuilly
Un matin de janvier, Marine nous ouvre les portes de son appartement du 10ème arrondissement de Paris, en compagnie de Dee Dee, sa chienne.
Moquette coco, mobilier vintage, montagnes de livres et de vinyles, son intérieur est si cossu que l’on s’y est tout de suite senti bien.
Elle s’est prêtée au jeu de la séance photo avec simplicité.
Elle porte notamment un de nos nouveaux modèles : La Robe Fine Bretelle en noir.
Confortable, versatile et stylée, c’est l’essentiel à avoir ce printemps et cet été.
Toutes les photos sont d’Estelle Rancurel .
OMEAR : Ton âge, ton métier et ta ville ?
Marine : 36, DJ, Paris
OMEAR : Quelle pièce choisir pour se sentir confortable chez soi ?
Marine : J’ai une obsession pour les débardeurs en coton ! C’est une matière que j’adore intemporelle, simple et chic.
OMEAR : Un souvenir d’un basique lié à l’enfance ?
Marine : Je me souviens des imprimés fleuris de culottes de maillots de bain que je portais en coton très jolies et super confortables. J’ai d’ailleurs gardé cette habitude de toujours dépareiller mes sous-vêtements.
OMEAR : Ta comfort zone chez toi ?
Marine : La parole ! Je suis très à l’aise en société et navigue assez facilement de conversations en conversations avec de parfaits inconnus !
OMEAR : Une musique pour se sentir bien ?
Marine : Chilly Gonzales - Rideaux Lunaires
OMEAR : Un objet de comfort ?
Marine : Mes deux chauffeuses vintage de Mario Bellini, un confort visuel et matériel !
OMEAR : Un rituel du matin ou du soir ?
Marine : Balade matinale et nocturne avec Dee Dee, mon petit Carlin :)
OMEAR : Une senteur qui te fait te sentir bien chez toi ?
Marine : L’odeur du Melograno en terre cuite de Santa Maria Novella. J’en ai un dans chaque pièce !
OMEAR : Un repas préféré en livraison ?
Marine : Je suis fan absolue des burgers du Ruisseau, parfait pour recharger les batteries.
Marine porte la robe Fine Bretelle, le débardeur Fine Bretelle et le Trois Quart en taille S.
Merci à Marine de nous avoir ouvert les portes de son appartement et à Estelle Rancurel pour les photos.